Un entretien avec Ardjuna Kishna

Ardjuna Kishna
Propriétaire de Porto di Lusso

Eza : Quand est née votre passion pour la mode ? commencé?

AK : Mon premier contact avec la mode remonte à mes visites chez Oger avec mon père. J’ai tout de suite été séduite par la richesse des tissus italiens et la grandeur du magasin. À 17 ans, je n’ai pas hésité longtemps avant de postuler. C’est ainsi que tout a commencé. Dix ans plus tard, je suis propriétaire d’une boutique encore plus belle, proposant des marques italiennes encore plus exclusives.

Eza : Parlez-nous de votre entreprise et de son développement jusqu'à présent.

AK : Porto di Lusso représente une nouvelle étape en matière d’exclusivité et de service. Je travaille en étroite collaboration avec mes clients et mes fournisseurs italiens. C’est un travail exigeant qui demande parfois beaucoup de temps pour établir ce type de relation, mais c’est une activité en pleine croissance.

Eza : Quels sont vos rêves/projets pour l'avenir ?

AK : Actuellement, je propose environ 40 à 50 % de la marque Porto di Lusso dans la boutique. Toutes ces pièces sont fabriquées par les meilleures marques italiennes. Mon rêve serait de tout produire sous une seule marque, Porto di Lusso, afin de pouvoir servir le client non pas avec des marques, mais avec de la qualité.

Eza : Comment est née votre passion pour les montres ?

AK : Ma passion pour les montres a commencé en même temps que ma passion pour la mode masculine. À mon avis, les deux sont indissociables : la montre complète votre style et vice versa.

Eza : Quelles montres possédez-vous en plus de la Sealander ?

AK : Après la Sealander, ma première « vraie » montre, mon premier chef-d’œuvre suisse et l’un de mes objets les plus précieux, la Jaeger-LeCoultre Master Compressor GMT, un cadeau de l’un de mes chers clients.

Eza : Quelles sont vos 3 montres de rêve absolues ? (et limitez-vous à 3)

AK : Haha, question difficile ! J’aimerais posséder une Rolex sobre et élégante, un modèle en acier, peut-être une Air King ou une Datejust en parfait état. La Patek Philippe Nautilus est pour moi la montre la plus désirable qui soit. Enfin, si j’en avais les moyens, la première montre que j’achèterais serait une Christiaan van der Klaauw, une Real Moon ; c’est vraiment la montre de mes rêves.

Eza : Comment avez-vous découvert Eza Watches ?

AK : Mon cher ami Adriaan est dans mon viseur depuis des années. Après avoir travaillé avec lui sur un événement dans ma boutique, j’ai essayé de le recruter. Pour moi, ce genre de passion, d’énergie et d’intégrité serait un atout indéniable pour la boutique. Lorsqu’il m’a annoncé son départ pour la Suisse, nous avons longuement discuté de son projet de créer une montre de plongée abordable et de haute qualité. Je lui ai promis que dès que l’occasion se présenterait, j’en achèterais une.

Eza : Qu'est-ce qui vous plaît chez Eza Watches ?

AK : Ce que j’adore avec l’Eza, c’est qu’elle suscite plus de commentaires et de compliments que n’importe quelle autre montre. Son design est si épuré et sophistiqué que même quelqu’un qui n’y connaît rien en horlogerie reconnaît immédiatement son originalité. De plus, la possibilité de changer de bracelet la rend très agréable à porter.